
Le Label Allianceperma


Un label éthique, libre, et affranchi. Un label qui prend soin de la nature, de l’humain, et qui fait du partage une évidence.

Pourquoi ?
Parce qu’il est éthique, oui — mais surtout indépendant. Émancipé de toute influence étatique ou industrielle, affranchi des carcans administratifs, des normes absurdes et des labyrinthes bureaucratiques.
Allianceperma, c’est un souffle de liberté.
Pas besoin de tampons officiels ni de lourdeurs inutiles : ici, ce sont les citoyennes et citoyens eux-mêmes qui pourront vérifier, comprendre, s’impliquer. (Voir dossier complet.)
C’est une invitation à reprendre notre souveraineté collective.
Sortir, peu à peu, de ces cages dorées que sont devenus certains labels bio ou éthiques — opaques, coûteux, parfois corrompus, souvent déconnectés.
Allianceperma, lui, sera clair.
Simple. Transparent. Humain.
Un label comme un engagement. Un pacte vivant entre nous, pour créer autrement.
Pour qui?
Toutes personnes, entreprises ou associations ayant comme fonctionnement les 3 points d’éthiques. Pour rappel : Prendre soin de la nature, prendre soin des gens et être dans le partage. Il ne s’agit donc pas que de permaculture.


Sera-t-il reconnu par une autorité?
Si être reconnu, c’est l’être par l’état ou l’union européenne? Bien sûr que non.
La seule autorité, ce seront les gens.
Mais alors, comment contrôler?
Un système sera mis en place qui permettra à chacun de vérifier à qui ls ont à faire et pourquoi tels ou tels ont obtenu le label.
Le label sera-t-il payant?
Oui, mais assurez-vous, on sera loin des sommes parfois importantes que les labels « officiels » imposent. 20€ par mois et le tour est joué.


À quoi vont servir les fonds récoltés ?
Les fonds collectés par le label seront une source précieuse pour faire éclore des projets alignés avec nos trois piliers éthiques. Rien de plus simple, mais surtout, rien de plus essentiel.
Plus la communauté d’abonné·es grandira, plus nous pourrons semer, faire pousser, et soutenir des initiatives qui ont du sens.
Pendant que l’État français fait marche arrière — en abandonnant l’Agence Bio, en rouvrant la porte aux pesticides, aux OGM, en sacrifiant le bien-être au nom du rendement — nous, on ne combattra pas ce système : on construira autre chose. Un monde parallèle, nourri par l’amour de la nature, le respect des êtres vivants, et l’envie sincère de partager.